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Plaque antidérapante : sécurisez vos sols glissants en milieux à risques

Une zone glissante, ce n’est pas juste un sol mouillé : c’est un risque concret, quotidien, pour vos équipes comme pour vos visiteurs. Chaque année en France, plus de 100 000 chutes liées à une perte d’adhérence sont recensées sur les lieux de travail.

Dans les ateliers, cuisines industrielles ou quais de chargement, la stabilité des pas ne doit rien au hasard. Miser sur une plaque antidérapante adaptée à votre environnement, c’est transformer une zone à incidents en zone maîtrisée. Encore faut-il choisir le bon produit et bien l’implanter.

Choisir la bonne plaque antidérapante selon la nature des risques et des contraintes

Dans un environnement exigeant, tous les revêtements ne tiennent pas la route. Une plaque antidérapante efficace doit répondre à trois exigences :

  • Forte accroche
  • Durabilité
  • Facilité d’installation

Selon le secteur et l’usage, les contraintes varient : huiles en cuisine, pluie dans une zone extérieure, poudre fine en milieu industriel… Il ne s’agit pas simplement de poser un revêtement autocollant. Il faut viser un ancrage durable. Vous pouvez voir la gamme complète de plaques antidérapantes proposées par Seton, adaptée à différents milieux à risque.

Adapter le revêtement aux conditions d’exposition

Les plaques conçues pour les extérieurs doivent résister aux UV, au gel et aux chocs mécaniques. Les modèles en aluminium gaufré avec surface minérale sont les plus robustes. En intérieur, pour les escaliers ou zones de production, les formats à base de fibre de verre recouverts de résine antidérapante sont plus adaptés.

Dans tous les cas, privilégiez des produits testés selon la norme DIN 51130, qui classe les surfaces selon leur résistance au glissement (R9 à R13). Plus l’environnement est critique, plus la note doit être haute.

Une pose sécurisée pour éviter les décollements prématurés

Le collage seul ne suffit pas sur les sols à fort trafic ou soumis à l’humidité. Il faut opter pour des fixations mécaniques (visserie, rivets) ou un adhésif industriel double face renforcé.

Avant pose, le nettoyage du support reste impératif : la moindre trace de graisse ou de poussière peut réduire l’adhérence de 70 %. Certaines entreprises utilisent des primers pour maximiser la tenue dans le temps, notamment dans les entrepôts où les températures chutent sous 5 °C.

Anticiper les coûts d’accident liés aux glissades en équipant les zones critiques

Un salarié qui chute, c’est une absence, un potentiel arrêt de production, parfois même une enquête ou une mise en cause de l’employeur. En moyenne, une glissade engendre un coût de 3 500 € pour l’entreprise entre :

  • Soins
  • Jours d’arrêt
  • Désorganisation

Les zones les plus sensibles ? Les entrées exposées à l’extérieur, les rampes, les zones de lavage, les escaliers en métal et les accès de quais.

Mettre en place une cartographie des zones à risques

Avant d’installer une plaque antidérapante, identifiez les points de circulation les plus sollicités. Les endroits où le sol change de nature (carrelage vers béton brut, ou métal vers résine) sont particulièrement accidentogènes.

Un audit interne ou un simple relevé de la fréquence de passage permet de prioriser les zones à traiter. Des outils de signalisation au sol peuvent compléter cette approche pour renforcer la vigilance sans alourdir le budget.

Améliorer la conformité aux obligations de sécurité

Selon le code du travail, l’employeur doit garantir une circulation sans danger dans l’entreprise. La norme NF EN ISO 14122-3 impose même une résistance minimale des sols antidérapants dans les zones à pente.

Ne pas équiper ces surfaces expose à des sanctions en cas d’accident. En installant des plaques visibles, conformes et résistantes, vous montrez une démarche active de prévention. Un argument de poids lors d’un contrôle ou d’une certification QSE.

Réduire les glissades ne repose pas sur des mesures symboliques. C’est une démarche technique, ciblée, qui commence par le choix d’une plaque antidérapante vraiment adaptée à votre environnement. Une solution simple à mettre en œuvre, mais qui évite bien des complications à long terme !

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